Dans les années 90, le Printemps décide de relancer l’évènement en repartant sur de meilleures bases et en se voulant être plus moderne. La catégorie rap est ajoutée au festival. Il n’a pas fallu longtemps pour dépasser les 100 000 spectateurs ! Le Printemps est de plus en plus perçu comme un point de rendez-vous incontournable pour les professionnels de la musique ! Autre point important qui permettra la réconciliation avec les berruyers, le Printemps devient un levier pour les musiques du monde et met en lumière beaucoup de talents au public français avec l’arrivée du « Printemps dans la ville », programmation complète de concerts dans les bars du centre ville de Bourges pendant le festival.
À la fin des années 90, Daniel Colling préfère retrouver l’idée principale de son idée du festival : l’audace et la découverte. Le format du Printemps de Bourges devient plus petit et se fixe autour des 50 000 places. Il est reconnu comme un lieu d’excellence et de pertinence concernant les choix de sa programmation. Il attire une nouvelle population et attise la curiosité !